Poème
Je me souviens de la douceur des orangers
D’une terre accueillante et remplie de chaleur
D’une mer m’éblouissant de ses reflets perlés
Qui arrivait presque à réchauffer mon cœur
Hélas tout cela n’est plus quand elle a débuté…
1954, l’année de la peur
J’aurai prié une vie pour revoir la gaieté
Mon pays n’était remplit plus que de terreur
Les façades commençaient à être remplîtes d’éclats
Cette guerre laissa ma terre en un piteux état
La situation m’obligeât a la quitter
Le sang des innocents salissaient le blanc d’Oran
Entre nous qui a été réellement gagnant ?
L’histoire s’est écrite, sombre est le verdict.